
ANDRÉ LHOTE 1885-1962
La Villa Médicis, 1911
Huile sur toile
64 x 80 cm
Certificat d'authenticité délivré par Madame Dominique Bermann Martin, en date du 2 février 2024, sous le n°BG24420. Cette œuvre sera incluse dans dans le Catalogue Raisonné de l'œuvre peint d'André Lhote actuellement en cours de préparation par Madame Dominique Bermann Martin.
Signé en bas à droite : A Lhote
André Lhote est un artiste cubiste et est exposé à la galerie HELENE BAILLY. Peint par André Lhote vers 1911, le tableau La Villa Médicis Libre est une œuvre fascinante...
André Lhote est un artiste cubiste et est exposé à la galerie HELENE BAILLY.
Peint par André Lhote vers 1911, le tableau La Villa Médicis Libre est une œuvre fascinante qui témoigne de l'influence du cubisme dans le travail de l'artiste. Cette peinture représente la Villa Médicis Libre à Orgeville, un lieu qui a été d'une grande importance pour Lhote et d'autres artistes de son époque. Lhote, en compagnie de Georges Braque et Pablo Picasso, avait élu domicile à la Villa Médicis Libre, un endroit qui accueillait de jeunes artistes talentueux et leurs familles, en leur fournissant non seulement un abri, mais aussi de la nourriture et du chauffage. Le style cubiste de Lhote est manifeste dans cette toile. Le tableau est une représentation de la Villa Médicis, où les formes géométriques et les angles multiples dominent la composition. Les couleurs froides et automnales qui imprègnent la palette confèrent à l'œuvre une atmosphère mélancolique et contemplative. Les teintes de bleu, de gris et de vert créent une ambiance qui évoque la saison d'automne, avec son calme et sa sérénité. Le Cubisme dans cette œuvre permet à Lhote de déconstruire la réalité, de la représenter sous plusieurs perspectives et de jouer avec les formes pour créer une vision unique de la Villa Médicis. Chaque élément de la composition semble être divisé en facettes, ajoutant une dimension complexe et profonde à l'ensemble. Comme Braque, Lhote se détache de la réalité puis retranscrire une vision schématisée et géométrisées de ce qu’il observe. L’architecture des maisons est ainsi restreinte à de grands pans de couleurs géométriques donnant un sentiment d’immensité à la composition. Au premier plan, Lhote peint un peintre de dos face à sa toile certainement en train de peindre la même vue que celle qu’il nous présente dans ce tableau. Vêtu de noir et sans détail sur son identité, il est possible qu’il s’agisse d’un autoportrait du peintre en train de peindre le présent tableau.
Peint par André Lhote vers 1911, le tableau La Villa Médicis Libre est une œuvre fascinante qui témoigne de l'influence du cubisme dans le travail de l'artiste. Cette peinture représente la Villa Médicis Libre à Orgeville, un lieu qui a été d'une grande importance pour Lhote et d'autres artistes de son époque. Lhote, en compagnie de Georges Braque et Pablo Picasso, avait élu domicile à la Villa Médicis Libre, un endroit qui accueillait de jeunes artistes talentueux et leurs familles, en leur fournissant non seulement un abri, mais aussi de la nourriture et du chauffage. Le style cubiste de Lhote est manifeste dans cette toile. Le tableau est une représentation de la Villa Médicis, où les formes géométriques et les angles multiples dominent la composition. Les couleurs froides et automnales qui imprègnent la palette confèrent à l'œuvre une atmosphère mélancolique et contemplative. Les teintes de bleu, de gris et de vert créent une ambiance qui évoque la saison d'automne, avec son calme et sa sérénité. Le Cubisme dans cette œuvre permet à Lhote de déconstruire la réalité, de la représenter sous plusieurs perspectives et de jouer avec les formes pour créer une vision unique de la Villa Médicis. Chaque élément de la composition semble être divisé en facettes, ajoutant une dimension complexe et profonde à l'ensemble. Comme Braque, Lhote se détache de la réalité puis retranscrire une vision schématisée et géométrisées de ce qu’il observe. L’architecture des maisons est ainsi restreinte à de grands pans de couleurs géométriques donnant un sentiment d’immensité à la composition. Au premier plan, Lhote peint un peintre de dos face à sa toile certainement en train de peindre la même vue que celle qu’il nous présente dans ce tableau. Vêtu de noir et sans détail sur son identité, il est possible qu’il s’agisse d’un autoportrait du peintre en train de peindre le présent tableau.
Expositions
Lausanne, Salon Biedermann, Musée Rath à Genève, Exposition des cubistes français et d’un groupe d’artistes indépendants, n°31 Le Parc et la villa, 15 avril-10 mai 1913.Paris, Musée National d'Art Moderne, André Lhote, 1958, n°11.
New-York, Juster Gallery, André Lhote, 1959.
Albi, Musée Toulouse-Lautrec, André Lhote, 962, n°7.
Newsletter
* denotes required fields
We will process the personal data you have supplied to communicate with you in accordance with our Privacy Policy. You can unsubscribe or change your preferences at any time by clicking the link in our emails.